Le mari soumis 2

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Ce récit est la suite de : Le mari soumis
il y a 9 ans

Notre lune de miel est dans un lieu paradisiaque, une île des Maldives dans le plus haut de gamme. Nous plongeons deux fois par jour, nous nous régalons de poissons et fruits de mer. Céline n’a pas reparlé de notre nuit de noces, et je n’ose pas exprimer mon désir de la pénétrer. Nous continuons nos jeux de caresses et de cunnilingus qu’elle aime tant, qui me laissent de plus en plus frustré et de plus en plus amoureux d’elle.

Nous faisons palanquée commune avec un couple de femmes qui me fascinent. Isabelle a 30 ans, dermatologue. C’est une femme solide et puissante avec de belles formes, un peu de ventre, de très gros seins et un charisme terrible. Elle attire les regards et la lumière, pas comme ma femme qui est délicate et très belle, mais plus par sa puissance et surtout sa sérénité. Elle semble se mouvoir avec grâce et comme flotter dans l’air. Est toujours très sure de tous ses gestes. Béatrice, un peu plus jeune, est son complément, une eurasienne, fine, délicate, réservée et discrète, mais que je sens avec beaucoup de caractère aussi. Elle ne parle jamais, et semble toujours dans une attitude de passivité. Je me demande si elles sont amies ou plus, mais aucun geste ne trahit ni une amitié ni une relation affectueuse. Elles semblent deux partenaires complètement en symbiose, sans avoir besoin de parler ni même de se consulter, formant une sorte de ballet fascinant. Ma femme et Isabelle deviennent vite amies, tandis que Béatrice et moi restons silencieux, moi toujours à penser comment rendre la vie de Céline la plus douce et agréable pendant ce voyage de noces.

Le dernier soir nous enchaînons les apéritifs puis le vin à table, lorsqu’Isabelle questionne ma femme sur notre rencontre. Sans surprise Céline traite la chose banalement, mais j’apprends qu’elle avait surtout apprécié chez moi mon côté doux et très respectueux avec les filles, cela lui avait plu. Je m’en sens flatté. Puis elle raconte en riant les conditions qu’elle a mises à notre mariage, ce qui fait sourire les filles.

  • Et il a tenu les 6 mois de chasteté demanda Isabelle ?

  • Non, répondit ma femme. Il a voulu me faire croire que c’était un accident nocturne, mais il n’a pas tenu comme je le lui avais demandé. Je n’osais pas la contredire en public.

  • Oh ! Et tu l’as puni comment ? Isabelle se moquait de moi j’en étais certain.

  • Eh bien, une semaine sans me voir.

  • Pas trop dur pour toi ?

  • Ah non, je ne suis pas claire, une semaine sans avoir le droit de me regarder ! Isabelle et Béatrice me regardèrent interloquées. Dès qu’il arrivait à la maison il devait mettre un bandeau, à 4 pattes et me rejoindre dans ma chambre pour s’occuper de mon plaisir. C’était divin, puis repartir tout frustré de ne pas même avoir pu me voir. C’était un bon chien chien à sa maîtresse.

Les trois filles rient de bon cœur, tandis que je ne savais pas trop où me mettre. Je me sentais réduit à néant devant ces trois belles femmes que je trouvais si attirantes, enfin surtout ma femme. Pourquoi me faisait-elle cela ? Pourtant mon sexe était dur, je cachais mon trouble, sans même être furieux contre Céline, elle peut tout dire.

  • Je crois que je ne l’ai jamais aimé autant que pendant cette semaine-là. Il est si doux, si prévenant, un amour.

Je tressaille, mais de joie cette fois-ci. Jamais Céline n’a exprimé un tel sentiment pour moi. Jamais même n’avait-elle dit des mots d’amour vers moi. Je comprends comme elle aime que je sois prévenant envers elle, j’ai donc raison de sans cesse me préoccuper de son confort et son bien-être.

Puis Céline raconte la beauté et la magnificence de notre mariage avec moult détails.

  • Et enfin la nuit de noces et l’apothéose ?

  • Tu veux leur raconter, ou bien je le fais ? J’étais rouge de honte, et hochait négativement la tête. Riant Céline continua. Le bide total. La pauvre chose était tellement frustrée qu’il a jouis à peine je l’ai touché, me couvrant de son sperme sur tout le ventre et les seins ! C’était répugnant. J’ai épousé un éjaculateur précoce ! Du coup je lui ai fait nettoyer de sa langue tout ce qu’il avait taché, puis il m’a léché comme jamais, j’ai eu un merveilleux orgasme et j’ai réalisé que j’adorais avoir mon mari entre mes cuisses.

  • Et depuis ? Isabelle me regardait avec un regard que je ne savais déchiffrer, mais j’étais incapable de soutenir ses yeux inquisiteurs

  • Nous continuons ainsi, hein chéri ? C’est délicieux de le sentir ainsi tout tendu vers moi, rempli de désir. Ce n’est pas vrai que tu es bien ainsi ?

  • Oui mon Amour. Que pouvais-je répondre d’autre en public, au comble de ma honte, sous le regard plein de mépris de ces deux inconnues.

  • Moi je l’aime tant ainsi, Céline me caressait doucement la main, et cela nous remplit si bien.

Les filles rient encore, Isabelle pleine de sadisme fait répéter à Céline comment j’ai jouis si vite à cette nuit de noces. L’alcool heureusement me fait vite tourner la tête, et j’ai très sommeil. Mais Céline ne semble pas vouloir que la soirée se termine. Isabelle lui propose d’aller danser et Béatrice et moi voyons les deux femmes danser langoureusement sous les faibles lumières de la piste de danse. Elles se rapprochent, je vois Isabelle parler dans l’oreille de ma femme, les deux femmes s’enlacer pour un slow. Isabelle se serre fort contre Céline, ma femme lève la tête et embrasse son amie longuement tendrement, dans un baiser torride.

Je ne sais que faire. Je ne suis pas jaloux, enfin je ne l’ai jamais été, Céline ne s’est jamais intéressée à personne d’autre qu’elle-même. C’est à la fois dérangeant mais aussi très doux. Je regarde Béatrice, elle semble indifférente, je ne saisis décidément pas leur relation à toutes les deux. Les danses se succèdent, les deux femmes restent collées l’une à l’autre. Isabelle fait signe à son amie qui la rejoint, elle lui chuchote à l’oreille et Béatrice toujours impénétrable revient vers moi.

  • Ta femme dit qu’elle a envie de rentrer se coucher un peu plus tard. Tu dois rentrer et ne pas l’attendre. Je t’accompagne pour ne pas que tu restes seul.

  • Mais je peux l’attendre ici ?

  • Non il faut que tu viennes. Béatrice me prend par la main et je la suis, à moitié conscient, et finalement soulagé d’aller me coucher.

Une fois dans le bungalow, je m’allonge sur le lit, tandis que Béatrice s’assied dans un fauteuil. Suis-je censé faire quelque chose ? Je me déshabille en gardant mon slip, je me mets sous les draps, déjà je dors sous le regard d’une inconnue. Je ne sais quel est mon taux d’alcoolémie, mais je sombre profondément dans une nuit noire.

Soirée mémorable

Je me réveille au petit jour, la gorge sèche de l’alcool bu la veille. Béatrice n’a pas bougé, affalée dans le fauteuil, dormant la bouche entrouverte. Elle est très craquante ainsi, toute petite fille fraiche et vulnérable. Je me demande où est ma femme, sans doute dans la chambre de Béatrice. Je me rendors la tête lourde et sans arriver à ordonner mes pensées.

Quand enfin j’émerge pour de bon, la matinée est bien avancée et nous devons bientôt partir. La chambre est vide et je suis contrarié de l’absence de Céline. Je prends une douche pour me réveiller et je commence à faire nos valises quand enfin elle entre, un énorme sourire au visage :

  • Mon chéri, comme je suis contente de te voir. J’ai passé la plus folle soirée de ma vie et c’est beaucoup grâce à toi. Tu es un adorable petit mari, et j’ai trop de chance. Sa bonne humeur est contagieuse et je ne pense à rien d’autre qu’à son bonheur, mais surtout aux mots qu’elle ne m’a jamais dit, ces mots d’amour qui se bousculent depuis hier, je ne comprends pas, mais j’en profite pleinement.

  • Je prends ma douche et je me fais toute belle. Tu termines les bagages et je te rejoins à la réception. Je te raconte tout dans l’avion on va avoir le temps collé l’un à l’autre pendant 10 heures.

Sans me laisser le temps de réagir elle s’enferme dans la salle de bain et sans hésiter je fais ce qu’elle m’a demandé.

  • Tu sais hier quand j’ai raconté à Isabelle ta chasteté forcée avant le mariage, et le fiasco de notre nuit de noces, j’étais à nouveau très excitée. Je me suis rendu compte que cela me mettait en transe de te savoir ainsi tout tendu vers moi en permanence. Je crois que quelque chose s’est mis en place chez moi.

Nous sommes installés en classe affaires, j’ai bien fait les choses, et prenons notre apéritif. Nos sièges sont isolés, et Céline relève sa jupe sous laquelle elle est nue.

  • Regarde, rien que d’en parler je dégouline comme jamais. Je mets ma main sur son sexe chaud et si doux, et c’est vrai qu’elle est gonflée et trempée. J’étais excitée comme cela quand nous sommes allées danser avec Isabelle. Elle l’a bien senti et j’ai senti des décharges quand elle s’est collée contre moi. Sentir ses seins collés sur les miens était délicieux, elle ne portait pas de soutien-gorge. Et quand elle m’a embrassé ! Je n’avais jamais embrassé une fille, c’était le nirvana. J’aurais pu jouir là sur la piste. Céline glisse une main dans mon jean qu’elle déboutonne pour découvrir mon sexe tendu comme un arc. Elle est dans son récit, me caressant tandis que je lui rends la pareille.

  • C’est Isabelle qui m’a dit à quel point j’aimais te frustrer, cela m’a semblé une telle évidence d’un coup. Elle m’a proposé de te frustrer très fort ce soir et de voir à quel point tu tenais à moi. J’étais totalement transportée, aussi je me suis collée le plus à elle, que tu sentes que j’avais envie de lui faire l’amour. Elle a appelé Béatrice en lui disant que nous passerions la nuit ensemble et que Béatrice devait te raccompagner dans ta chambre et que si tu avais envie d’elle, Béatrice devrait tout te permettre, même se faire sodomiser si tu le voulais. Tu te rends compte ! Je savais bien que tu ne ferais rien, mais elle est drôlement mignonne tu ne trouves pas ? Les doigts de Céline se firent plus pressant et je perdais comme toujours le fil de mes idées.

J’étais submergé de tant d’émotion. Béatrice à ma disposition et l’idée même ne m’avait pas traversé l’esprit. Ma femme qui découvrait une excitation et une perversion qui ne me laissait pas de marbre au contraire. Je détestais être frustré, mais j’aimais tant lui faire plaisir, lui donner du plaisir. Et l’imaginer avec Isabelle si sexy dans ses rondeurs. Je n’y tiens plus et en me mordant les lèvres, je jouis dans la main de ma femme qui continue à doucement me caresser comme pour me traire totalement. Elle s’est tue, me regardant les yeux brillants. Elle retire sa main, et sans avoir besoin de me le demander, je la lèche pour la nettoyer, confus de l’avoir ainsi salie. Je sais qu’elle déteste le sperme. Sans façon elle s’essuie ensuite sur mon jean que je referme. Elle me prend la main et la repose sur son sexe toujours dévêtu.

  • Tu as jouis trop tôt avant le meilleur, comme toujours. Elle sourit. Je crois que je vais t’interdire de jouir dorénavant, qu’en penses-tu mon petit mari ?

  • Mon Amour, tu sais que c’est impossible, j’en ai bien trop besoin, et c’est bien trop bon.

  • On en reparlera mon petit mari. Je te disais donc qu’Isabelle avait envoyé son amie s’occuper de toi et j’étais certaine que tu ne ferais rien, et j’avais raison ! Alors que moi de mon côté, je me suis éclatée comme jamais. Je te passe les détails, mais faire l’amour avec une femme, ou en tous cas avec Isabelle puis avec Béatrice, oui, oui elle nous a rejointes ce matin, c’était vraiment inouï et je n’ai pas compté mes orgasmes. Mais tu sais à chaque instant je pensais à toi et à ta frustration de ne pas pouvoir me faire l’amour. C’était tellement aphrodisiaque, cela a décuplé mon plaisir. J’ai léché une femme pour la première fois, c’est si doux, tu ne m’avais jamais dit comme c’est bien. J’ai même léché son cul, c’est spécial, mais pas mal du tout, il faut s’y habituer. Je vais te faire lécher ainsi, je suis certaine que nous aimerons beaucoup cela. Et deux femmes magnifiques qui s’occupent de moi, j’ai cru devenir totalement folle. Et tout cela grâce à mon petit mari qui me laisse faire et me procure tellement de plaisir en n’en prenant pas. Tu sens comme j’aime cela ?

  • Oui Mon cœur, mais tu sais j’aime bien jouir aussi, j’en ai même besoin.

  • Mais non tu n’en as pas besoin, tu en as l’envie et c’est cela qui est magnifique comme preuve d’amour, ce que tu m’offres. Tu ne trouves pas ? Céline ne m’écoute pas vraiment, ce que je pense ne l’intéresse pas, elle souhaite m’utiliser, un caprice, sauf que je suis son mari et cela me rassure. Et au fond j’ai toujours voulu son bonheur et je n’ai jamais compris pourquoi elle m’avait choisi. Je ne me sens pas à la hauteur et les derniers évènements le montrent bien.

  • Oui c’est vrai, une fois encore je suis dans la confusion. Et un sentiment que j’ai déjà ressenti, qui s’intensifie, d’un affaissement dans mon esprit, une sorte de reddition, et cela me procure des émotions nouvelles, un certain apaisement. Comme si finalement je cessais de lutter. Je ne sais pas contre quoi, mais là je me sens bien, humilié dans ma virilité d’homme mais soulagé. Je n’ai pas la force de toute façon de me battre contre elle, contre ce qu’elle voit de moi, j’en suis totalement incapable. Et tellement rempli d’amour, Céline a raison, je suis prêt à tout pour elle. Et je découvre que je suis un homme faible. Et alors ? Lit-elle dans mes pensées ?

  • Es-tu prêt à tout pour moi mon petit mari ? Ses yeux sont rieurs.

  • Oui mon Amour, tout ce que tu voudras.

  • Merveilleux, je vais être la plus comblée des femmes. Je te raconte la suite ? Devant mon air surpris elle reprend, oui, je ne t’ai pas raconté le clou de la soirée, enfin le clou pour moi, toi tu dormais comme un bébé. Isabelle me demande si le fait de te frustrer n’est pas trop difficile pour moi, si un beau sexe ne me manque pas. Je lui avoue alors que je n’ai jamais adoré les pénétrations, cela m’a toujours fait un peu mal et pas trop de plaisir. C’est d’ailleurs pour cela que je t’avais accepté, parce que je sentais bien que tu n’étais pas un queutard comme les autres, et que tu accepterais que nous ayons peu de relations sexuelles. Je ne me suis pas trop trompée ! Son sourire était conquérant, elle prend un vrai plaisir sadique à m’humilier, et moi je hoche la tête en acquiesçant, que puis-je faire d’autre ?

  • Isabelle me dit alors d’attendre pour un jugement définitif. Elle revient avec une grosse culotte en coton noire avec un trou au niveau du pubis. Elle y glisse un god noir aussi, un peu plus gros que ton sexe et ainsi équipée, elle vient me faire l’amour, doucement, tendrement, follement. Je la sens qui me pénètre millimètre par millimètre, me remplir d’elle tandis que nous nous embrassons comme tes folles, que je caresse ses seins qui me rendent dingue, jusqu’à sentir qu’elle m’a prise toute entière, me rendant trempée de désir, je me caresse le long de son sexe avant qu’elle ne reprenne le contrôle des opérations, en malaxant mon col avec le bout du god avec une dextérité de folie. J’ai complètement perdu les pédales, et pendant plusieurs minutes j’ai râlé de plaisir sans discontinuer, comme un orgasme qui n’en finit pas, me sentant à la fois remplie et défoncée, caressée de l’intérieur, tenue, et avec la douceur de ses tétons entre mes lèvres. C’était un truc incroyable, et je me suis effondrée sur le lit en pleurs tellement c’était fort. Jamais je n’aurais cru qu’une pénétration pouvait faire cela. Elle m’a promis que cela pouvait être encore plus fort par derrière mais là je n’en pouvais plus, peut être une autre fois. Tu en penses quoi ma petite chose ?

  • Je suis très heureux pour toi mon Amour, un peu déçu que ce ne soit pas moi qui te donne tout ce plaisir.

  • Oh mais c’est très bien ainsi, je prends mon plaisir et toi tu restes dans ma contemplation, n’est pas ce pas comme cela que cela doit être.

  • Ce n’est pas ce que j’avais pensé comme relation tu sais ?

  • Allons, tu sais bien que pour qu’une femme comme moi se marier avec toi, c’est que je dois y trouver mon compte, pas vrai, et j’ai envie d’un mari qui soit tout à mon service, ce n’est pas cela qui compte le plus ? Ton plaisir doit juste être le mien.

  • Oui c’est vrai, mais c’est difficile tu sais. Elle enfonce le clou à chaque fois plus profondément, je ne me bats plus que par orgueil, nous savons tous les deux que j’ais baissé pavillon.

  • Fais-moi jouir avec tes doigts, là, je suis trempée, je repense à Isabelle et j’ai trop envie.

L’incident

Cela fait 6 semaines que nous sommes rentrés et que je me suis officiellement installé dans la maison en proche banlieue que les parents de Céline lui ont offertes pour ses 21 ans. Quelle maison ! Plus de 300 m2 pour tous les deux, et heureusement une employée à temps plein pour s’occuper de tout. Céline a décrété qu’elle souhaitait garder ses habitudes, aussi ai-je installé mes affaires dans une chambre d’ami, Céline gardant toute le dressing pour elle, et elle l’occupe totalement, ainsi que sa grande salle de bains.

Elle souhaite pouvoir y passer le temps qu’elle veut sans se soucier de savoir si j’ai besoin de me laver les dents. Je dois avouer qu’elle a raison, nous avons tant de place, pourquoi se gêner. A chaque instant ma femme me montre bien qu’elle ne souhaite pas changer ses habitudes pour notre mariage et que je dois m’adapter complètement à elle et elle pas du tout à moi. Cela aussi je le trouve logique. Il y a toujours un rapport de force dans un couple et là il est totalement en sa faveur. Pas seulement pour l’argent et sa beauté, mais aussi sa force de caractère et sa capacité à savoir chaque instant ce qu’elle veut et ce qu’elle aime alors que je suis le plus souvent hésitant. C’est en fait assez simple pour moi à me conformer à ses envies et je suis très heureux de notre amour. Car chaque semaine qui passe Céline est plus épanouie et m’exprime comme elle est bien.

Il y a des moments plus difficiles, mais déjà en 6 semaines je m’y suis habitué. Comme ce sms tout à l’heure alors que je suis au bureau ou ma femme me dit qu’elle ne rentrera qu’à minuit. Cela lui arrive une à deux fois par semaine, et même une fois elle n’est pas rentrée de la nuit. C’’est curieux, j’y pense, mais je ne suis pas du tout jaloux. Elle ne me dit rien ni avant ni après, mais je sais que c’est important pour elle et donc pour moi. Et avoir une soirée libre ne me déplaît pas non plus. Parce que cela me permet d’évacuer ma frustration sexuelle qui elle continue de s’amplifier.

Depuis que nous sommes rentrés, nous faisons l’amour deux fois par jour, mais toujours suivant les règles qu’elle a décidées. Je ne l’ai pas pénétrée une seule fois, et quand j’y pense, pas depuis que je l’ai demandée en mariage ! Dès que j’y pense j’en deviens fou de désir. Elle a introduit de nouveaux jeux, toujours pour son plaisir. Si le matin je dois venir la réveiller en la léchant doucement avant qu’elle ne jouisse dans un demi-sommeil, lorsque nous faisons l’amour le soir, elle prend plaisir à me chevaucher longuement le visage, mon nez enfoui dans son petit trou, tandis que ma langue s’active inlassablement sur son sexe.

Parfois cela dure près d’une heure, en regardant la télévision ou bien même en téléphonant. Mon sexe est alors dur comme la pierre, et Céline s’amuse à jouer avec mes couilles, les pressant de plus en plus fort pour sentir mes petits cris dans son sexe, ce qui l’excite terriblement et curieusement rend mon sexe encore plus gros. Elle s’en rend compte et se moque de moi, serrant encore plus fort pour me sentir gémir sans pouvoir rien faire sous son poids sur moi. Deux fois en me serrant très forts les couilles, elle m’a doucement caressé le sexe me faisant jouir en quelques secondes, et en la mettant en colère aussi rapidement.

  • Mais tu ne peux pas te retenir petit cochon, j’avais envie de jouer avec ton sexe

  • Je suis désolé j’ai tellement envie tu sais ?

  • Cela m’est égal, je ne veux que tu jouisses que quand je te l’autorise.

  • Mais tu ne me l’autorise jamais ! Je suis outré par sa mauvaise foi.

  • Et puis quoi encore, il faut que tu le mérites, et que tu sois vraiment en manque, tu n’es même pas capable de te retenir. Comment veux-tu que je t’autorise à me pénétrer ?

  • Mais c’est trop dur, je suis un jeune homme, j’ai trop besoin.

  • Taratata, tu n’as pas besoin mais envie, et plutôt que de te retenir pour ta femme, tu jouis dès que tu peux. Je suis certaine en plus que tu te fais jouir dans mon dos, ce n’est pas vrai ?

  • Mais non, bien sûr que non !

En fait si. Mais plutôt mourir que de le lui avouer. Et cela se termine par moi devant nettoyer les traces de mon sperme et elle pas satisfaite du tout. Je me sens alors tout honteux, d’autant qu’ayant jouis il est vrai que mon désir est moins fort pour elle, et que je me sens moins à son service.

Et ce soir pendant son absence, j’ai très envie de me faire jouir, je n’en peux plus. Je ne pense qu’à cela. Je m’allonge sur notre lit, et j’enfile un de ses petits shorts en dentelle qui lui vont à ravir. Mon sexe déforme le short, et je me caresse doucement au travers du tissu. La vision me trouble beaucoup. Avec l’autre main je pince mes tétons comme Céline me le fait de plus en plus souvent, et pas seulement pendant les câlins, à tel point qu’ils sont douloureux et sensibles, mais très érogènes. J’imagine le cul de ma femme, envie de m’engouffrer dedans, sans même réaliser ce que je fais, mes doigts quittent mes tétons pour aller presser mes couilles et les écraser violemment, c’est trop bon, je n’arrive plus à me retenir et je jouis dans la dentelle. C’est délicieux, je m’assoupis ainsi, mon sexe recouvert de mon sperme qui commence à sécher sur le shorty.

Une gigantesque gifle me réveille. Céline est debout à côté du lit et me regarde avec une mine dégoutée. Je m’effondre en imaginant la scène qu’elle découvre : son mari s’étant masturbé dans son slip en son absence, alors qu’elle déteste l’idée que je jouisse.

  • Tu peux m’expliquer ? Sa voix est glaciale. Je ne sais quoi lui répondre.

  • Mon Amour, je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris.

  • Moi je sais, tu es un gros porc comme les autres, voilà tout. Dans mon slip en plus, qu’est-ce que c’est répugnant.

  • Je… je suis désolé mon Amour, pardonne moi, je suis trop désolé.

  • Et moi donc comme je suis désolée. Ce n’est pas hier que tu m’as promis que tu ne te masturbais jamais ?

  • C’est la première fois je t’assure.

  • Prends-moi pour une conne.

  • Je ferais tout ce que tu veux, s’il te plaît, ne m’en veux pas. Je ne sais quoi faire, j’ai l’air tellement ridicule, mais je n’ose pas bouger.

  • Je pensais que tu faisais tout ce que je voulais, mais tu parles ! Tu vas voir tu ne vas plus me prendre pour une débile.

  • Mais je ne te prends pas pour une débile !

  • Enlève le slip et va te nettoyer. Pas le slip, ton corps tout dégueulasse.

  • D’accord, j’arrive tout de suite

  • Et le slip tu ne le mets pas dans le linge sale, je ne vais pas le remettre. Tiens d’ailleurs puisque tu l’aime tant tu vas mettre cela pour aller travailler toute la semaine, sans le nettoyer, pour bien te souvenir de tes bêtises.

  • Mais, je… d’accord. Je n’ai pas envie de la contrarier. Et pourquoi cet ordre m’excite-t-il alors que je me sens mal en même temps. J’ai souvent rêvasser de porter des sous-vêtements de ma femme au travail, et là c’est elle qui m’y oblige ! Cependant je ne pensais pas à une culotte ainsi souillée.

En fait Céline est revenue bien plus tôt que je ne pensais, je n’ai pas eu de chance. Je ne sais pas trop comment la calmer, je pense que le mieux est de faire ce qu’elle demande, et d’espérer que cela s’apaise tout seul. Après m’être nettoyé dans ma salle de bain, je reviens dans notre chambre, Céline assise sur le lit.

  • Je suis furieuse et déçue contre toi. J’ai pris plusieurs décisions et de toute façon tu vas faire ce que je veux. Nous sommes bien d’accord ?

  • Oui mon Amour. Tout ce que tu veux.

  • Très bien, reste dans cet état, tu es pathétique avec ton besoin de sexe. Ma première décision c’est que je vais te punir. Maman dit souvent que les hommes restent toute leur vie des petits garçons, et je découvre qu’elle a raison.

  • Tu vas me punir comment ? Je suis un peu inquiet. Je ne remets pas en cause le fait de me punir en fait.

  • Eh bien, as-tu une idée ?

  • Non pas du tout. Je sais que je t’ai déçue.

Le souvenir de la semaine humiliante où je n’avais pu la voir me revient en mémoire, mais c’était inimaginable et je ne veux pas la lui rappeler. Mais je te promets que je ne recommencerai pas sans ton autorisation.

  • Vraiment ? Comment puis-je te croire puisque tu m’as promis cela hier. C’est important dans le couple de se faire confiance. Va me chercher au sous-sol les cravaches qui sont avec mes affaires d’équitation.

Son ton est très déterminé, elle ne badine pas, je le sens bien. Je me souviens aussi qu’elle m’a parlé de plusieurs décisions et Céline est quelqu’un de très méthodique, je ne doute pas qu’il y aura d’autres décisions. Sans réfléchir, je descends à la cave, nu, et je trouve les cravaches dont elle me parle, dont deux qui viennent de chez Hermes, rien n’est trop beau pour Céline de la part de son papa !

  • Penche-toi sur le bureau, je veux voir tes fesses bien sorties. Si tu bouges je recommence, tu as compris ?

J’obéis, assez réticent, mais si cela peut effacer ma honte. Céline me prévient qu’elle va me donner 10 coups de cravache pour mon erreur. Je devrais pouvoir supporter. Le premier coup est doux, je ne sursaute même pas. La punition ne sera pas trop dure. Elle n’est pas trop habile, et plusieurs coups glissent sur mes fesses. Au dixième, je me redresse.

  • Tu fais quoi ?

  • Tu m’as dit 10 coups de cravache.

  • Ils n’ont pas compté, je n’ai pas l’habitude. Je voulais te les faire plus fort, mais comme tu t’es permis de te redresser, ce sera bien plus fort. Et n’oublie pas, si tu te redresses, je recommence à 0.

Résigné je me remets en position, un peu tendu quand même. Le premier coup siffle avant de s’abattre sur mes deux fesses, je hurle et je sursaute, sans me contrôler je mets mes mains aux fesses pour calmer la brûlure, ma femme me laisse faire. De moi-même je me remets en position.

  • Ce coup-là ne compte pas puisque tu as bougé. Je recommence à 0.

Le coup n’est pas moins fort, mais je bloque ma respiration tandis que la brûlure se propage dans mes fesses, c’est très difficile. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits, un deuxième puis un troisième coup s’abattent. Je ne me contrôle plus, je tombe aux pieds de Céline et je la supplie de me pardonner et de me faire moins mal, c’est trop difficile. Une fois encore elle me laisse pleurer, ne dit rien et attend que je reprenne ma position. J’espère de la pitié de sa part.

  • On recommence à 0. Je sanglote.

Je ne tiens plus le compte ni des séries ni du nombre de coups. J’arrive à un moment à passer par-dessus la douleur, mais je n’ai pas le choix, et en calmant ma respiration, je tiens les 10 coups, malgré le fait qu’elle tape encore plus fort les derniers. Mes fesses sont en feu. Au dernier coup je ne bouge pas, j’ai compris la leçon. Je jette un regard en arrière et sidéré je vois ma femme allongée sur le lit en train de se caresser comme une démente. Je n’avais pas fait attention mais les derniers coups assénés l’étaient avec sa main gauche enfoncée entre ses lèvres. Je suis très excité de la voir ainsi et malgré la douleur et l’humiliation mon sexe a une formidable érection.

  • Viens là mon petit branleur, viens lécher ta femme, met un doigt dans mon sexe comme tu sais que j’aime cela, oh oui, n’arrête pas, encore, encore. Dans un hurlement strident elle jouit follement et je reçois un jet chaud sur ma main, je crois que c’est de l’urine, mais j’apprendrai plus tard qu’il n’en est rien. Son orgasme n’en finit pas, je guette sa réaction, ce qu’elle attend de moi.

  • Lève-toi, tourne toi, montre-moi tes fesses. Tu dois avoir sacrément mal mon petit branleur, je pense que tu te souviendras de ta bêtise, tu ne crois pas ?

  • Oui Mon Amour, je suis vraiment désolé, est ce que tu me pardonnes.

  • Presque, je t’ai dit qu’il y avait d’autres décisions, tu verras, mais tu as été courageux et tu t’es bien abandonné, et surtout tu m’as faite jouir comme un roi, tu es vraiment très doué.

  • Tu sais j’ai eu très très mal.

  • Mmmhhh tu m’excites en disant cela, j’ai encore envie de te battre un peu.

  • Pitié non vraiment. Même si mes fesses chaudes comme cela et te voir ainsi m’excite terriblement

  • Tu as tout le temps envie de jouir, c’est terrible. Tu sais que je n’aime pas et que je trouve cela sale.

  • Tu es vraiment dure avec moi, tu sais.

  • C’est ton choix mon petit mari, je t’ai dit qu’il y aurait plein de contraintes à te marier avec moi. Ce n’est pas vrai ? Je ne t’ai pas dit qu’il y aurait plein de choses que je déciderai ?

  • Oui c’est vrai, mais je ne savais pas.

  • Tu veux dire que tu regrettes ?

  • Non je suis très heureux d’être ton mari. Cela pourrait être tellement parfait si nous faisons l’amour.

  • Mais nous faisons l’amour. Pas de ta façon et comme tu veux, mais nous faisons l’amour plus que n’importe quel couple.

  • Tu sais ce que je veux dire ?

  • Oui, tu parles de ton plaisir égoïste que je n’aime pas. C’est un petit compromis, tu ne trouves pas. Et moi je te veux ainsi toujours en attente, et que tu fasses tout ce que je veux, et surtout pas te branler vicieusement dans mes culottes. Tu es un gros dégueulasse.

Elle a récupéré de son orgasme et je la sais à nouveau inaccessible. Je comprends que je n’arrive pas à la convaincre, et que je me suis fait de toute façon une raison. Je ne sais pas comment je vais faire, si même ces plaisirs volés me sont interdits. Mon sexe est si dur à la voir si belle et magnifique ainsi. C’est aussi paradoxal comme elle prend plaisir à m’humilier de ne pas la satisfaire, cela la fait vraiment jouir. Et maintenant ces marques sur mes fesses qui me brulent. Elle me fait tourner et retourner sur moi-même pour admirer son œuvre et se moquer de moi. J’apprends qu’elle a décidé de me battre ainsi quand je ne serais pas assez serviable ! Mais je le suis toujours, naturellement, car j’aime lui faire plaisir.

Cela fait une semaine que l’incident est arrivé. Je suis dans le salon à écouter de la musique quand Céline rentre du travail.

  • Bonjour mon Amour, je suis heureux de te voir, comment a été ta journée ?

  • Bonjour ma petite chose, excellente ! Et tu vas voir je t’ai ramené une surprise ?

  • Vraiment ? Céline ne me fait jamais de cadeau, il est vrai qu’elle est mon cadeau permanent. Elle tient un petit paquet à la main.

  • Déshabille-toi vite mon petit mari.

Devant mon air interloqué, elle fronce les sourcils. Je lui obéis alors un peu inquiet. Je suis nu devant elle, le sexe à moitié gonflé de désir, elle me fait de l’effet dès que je suis près d’elle. Elle sort du paquet un anneau métallique, prend mes couilles, les faits passer au travers, avant d’y inclure mon pénis. J’ai ainsi, à la base du sexe un anneau métallique qui me compresse un peu. En fait je ne comprends pas. Elle retire alors du paquet une cage métallique dans laquelle elle pousse mon sexe, débandé maintenant que je comprends ce qu’elle fait. Elle force un peu les chairs et la peau, et accroche la cage à l’anneau avec dextérité, je vois un cadenas se fermer sur mon sexe ainsi emprisonné, et vraiment très comprimé. La sensation m’excite, mais le sang ne vient pas jusqu’à mon sexe qui reste mou.

  • Et voilà mon chéri c’est la seconde décision que j’ai prise suite à tes jeux dégoutants de l’autre jour. C’est une cage de chasteté comme cela tu ne pourras même pas te caresser dans mon dos comme tu as l’habitude de le faire.

  • Mais je ne peux pas porter cela tout le temps.

  • Non ? Et pourquoi donc ?

  • Mais c’est très inconfortable. Et cela va se deviner sous mêmes vêtements.

  • Tant pis pour toi, il fallait y penser avant. De toute façon tu ne penses qu’à ton sexe ainsi tu le sentiras en permanence.

  • Mais même là cela fait 5 minutes et c’est douloureux, cela tire sur mes couilles.

  • Oh tu vas t’y faire, et puis tu aimes bien cela avoir mal aux couilles.

Sur ce elle sort son téléphone portable, fait une photo de mon sexe encagé, l’envoie en MMS. Quelques secondes plus tard le téléphone sonne :

  • Oui ma chérie c’est superbe ainsi, tu avais bien raison.

  • Tu as bien fait pour les dimensions. Le gars à qui j’ai passé la commande me disait que cela allait être trop serré, mais comme cela je suis tranquille il ne pourra pas l’enlever du tout.

  • Comme d’habitude, tu sais, il ne dit rien sinon à pleurnicher qu’il a besoin de se branler, comme tous les mecs, oui tu as bien raison

  • Oui envoie moi la photo cela va être trop génial. Je t’embrasse tout doucement

Céline raccroche, j’ai la tête qui tourne, je ne comprends pas trop. Je me sens humilié mais ma tentative d’érection projette la cage en avant, comprimant mes testicules dans une douleur vraiment forte, et je ne sais plus trop ce qui m’arrive. Je ne sais pas comment je dois réagir, je ne peux pas me laisser faire, mais je ne peux aller contre la volonté de Céline. De plus j’ai encore mal aux fesses, et j’ai assez peur lorsque je la contrarie.

  • Regarde ma petite chose… Céline me montre une photo qui vient d’arriver. Je découvre que l’émetteur est Isabelle, et la photo montre 4 petites clés dans une boite dorée.

  • Isabelle ? Je ne savais pas que tu étais en contact encore avec elle ?

  • Vraiment ? Mais tu n’as pas compris que je suis amoureuse d’elle et réciproquement ? Elle est écroulée de rire. Tu crois que je suis où quand je m’absente, avec un autre mec aussi tordu que toi ?

  • Non je ne me posais pas la question.

  • Eh bien tu as la réponse à ton non question. Nous sommes même de plus en plus proches. Et tu vois ces 4 clés c’est une idée d’Isabelle. Enfin non, pas les 4 clés, mais de te mettre en cage. Nous sommes toutes les deux d’accord que les mecs devraient être tous chastes et ne servir qu’à la reproduction. Et c’est Isabelle qui a proposé de garder ta clé avec les autres qu’elle a, pour pas que tu me casses les pieds.

  • Mais comment cela ? Tu n’as pas la clé pour me libérer ? J’étais effondré, je pensais à un jeu passage.

  • Ah ben non, c’est Isabelle, et c’est elle seule qui peut te libérer. D’ailleurs elle va le faire tous les mois.

  • Tous les mois ? Mais pourquoi ?

  • Je lui ai demandé de te faire une épilation laser, tu sais comme je déteste les poils et toi aussi. Tu es si heureux de mon petit minou définitivement lisse.

  • Tu veux que j’ai le pubis aussi tout lisse ? Cela va pas faire bizarre ?

  • Non pas le minou, je lui ai demandé tout le corps, tu vas voir c’est génial.

  • Mais tu ne me demandes pas même mon avis ?

  • Mais si mon petit chéri, tu as raison. Que penses-tu de l’envie de ta femme d’avoir un mari tout lisse et tout doux en permanence ?

  • Je ne sais pas, je n’y ai jamais pensé.

  • Tu ne trouves pas que mon sexe est divin ainsi ?

  • Si c’est vrai. Oui tu as raison, cela doit être très doux. Mais tu es certaine que cela ne te manquera pas ?

  • Tes poils dans la bouche ? Tu plaisantes ! Bon donc nous sommes d’accord, épilation laser intégrale une fois par mois sur tout le corps, tu vas voir c’est assez douloureux, et sur tout ton corps isabelle m’a dit que cela prendrait une demie journée. Par contre elle te fait cela à l’œil, normalement tu en aurais pour 1200 € la séance !

  • Elle est trop gentille.

  • Va me chercher la cravache, je déteste ton ton inadapté. La voix s’est faite cinglante.

  • Oh pardon Céline, je suis désolé, je ne voulais pas. Pitié pas de cravache, je t’assure que cela ne se reproduira plus.

  • Je ne veux plus entendre la moindre critique dans ta bouche, tu m’entends. Ni sur Isabelle ni sur qui qui ce soit. C’est compris ?

  • D’accord, je comprends, je vais faire très attention.

  • Je passe sur cette fois-ci mais la prochaine fois c’est 100 coups de cravache que tu recevras.

  • 100 coups, mais tu es… Je me reprends à temps, dure mais juste ma femme chérie, je serais parfait.

  • Allez viens te faire pardonner en me léchant, tu m’as bien contrariée, j’aurais dû ne pas céder, je regrette de ne pas te fouetter. C’est idiot, j’ai envie de t’entendre pleurer avec ta belle cage, je change d’avis, va me chercher la cravache et sans te plaindre sinon je double la raclée que tu vas prendre.

Comme toujours je devrais être en colère et c’est Céline qui l’est contre moi. Je me retrouve le sexe cadenassé avec la clé qui est la possession d’Isabelle. Que referment donc les autres clés, il faudra que je demande à Céline quand elle aura joui.

A suivre ICI mais cela devient CHAUD voir plus

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